Avec Grapho 12

LE PAPIER A TOUJOURS SON MOT À DIRE

Implantée à Villefranche-de-Rouergue depuis sa création en 1981, l’imprimerie Grapho12 dispose d’une chaîne graphique complète (PAO infographie, impression offset feuille et numérique, façonnage…) lui permettant de réaliser de nombreux types de travaux : imprimés publicitaires et commerciaux, livres brochés et reliés, imprimés administratifs et papeterie, packaging. L’imprimerie est équipée de presses offset et numériques. Elle dispose, en particulier, d’une presse offset Komori 8 groupes qui permet l’impression quadrichromie recto-verso en un seul passage. Outre son parc machines, la force de l’imprimerie repose aussi sur les compétences de ses équipes expérimentées qui, des services commerciaux aux techniciens de production, interviennent tout au long des projets en recherchant la qualité optimale.

STOP AU PAPER BASHING !

Par la culture de l’entreprise et la parfaite connaissance du marché, on sait, chez Grapho 12, que le papier et l’imprimerie ont encore un rôle essentiel à jouer dans la communication, qu’elle soit commerciale ou éditoriale. Les deux dirigeants de l’entreprise, Alain Bessettes et Giovanni Michielin, appuient leurs convictions sur toute une série d’arguments objectifs qui vont à l’encontre de la tendance actuelle au paper bashing (le dénigrement des industries du papier et de l’impression).Premier argument économique et social : l’industrie des arts graphiques en France représente 2 500 entreprises, 70 000 salariés et 5 milliards de chiffre d’affaires, que l’on ne saurait rayer d’un trait du paysage économique du pays.Deuxième argument : l’imprimerie est l’industrie qui, au cours des dernières décennies, a réalisé les progrès les plus considérables en matière de réduction de ses impacts environnementaux (papiers PEFC, label Imprim’Vert, encres végétales…) et en matière d’amélioration des conditions de travail.Contrairement aux idées reçues, l’impact environnemental et l’empreinte carbone d’un document imprimé sont moindres que ceux d’un document digital. Une fois imprimé, un document papier n’a plus aucun impact, qu’elle que soit sa durée de vie, alors qu’un document numérique continue de solliciter des serveurs et des datas centers gros consommateurs d’énergie, à chaque fois qu’il est consulté.

LE POIDS DU PAPIER

Toutes les dernières études le montrent et le retour des clients vers le document papier le confirment : une campagne de communication sur papier a un meilleur impact qu’une campagne digitale. Enfin, des études (confirmées par l’échec commercial des liseuses numériques) montrent que le confort et la rapidité de lecture sont bien supérieurs sur le papier que sur un écran. Et les dirigeant de Grapho 12 d’ajouter : « Nous sommes favorables, bien sûr, à une réduction sensible du nombre de prospectus pour éviter qu’un trop grand nombre parte directement à la poubelle. Mais il n’est pas nécessaire, pour cela, de tuer l’industrie graphique. Le problème vient de la diffusion et on peut y remédier, par exemple, en généralisant un dispositif comme le « Oui Pub », qui donne le choix d’autoriser ou de refuser les imprimés publicitaires dans les boites aux lettres, ce qui permet de ne distribuer les imprimés qu’aux gens potentiellement intéressés. »